Dog-earing: City by Alessandro Baricco

I’m one of those people who, in order to thoroughly enjoy a book, underlines my way through it. I re-read this one in the last month and thought i’d write things down down. They won’t make much sense outside of the context of the book and maybe that’s what’s interesting to a certain extent. I’ve started thinking that privacy and identity is actually very easy to hide once the general context has been lost.

For you, dear readers, these will be bits of sentences which I am sharing, not because I know you’ll understand them, but because I know you won’t ;)

page 30:
“Mais des tas de fois c’est comme ca, et presque tout le temps: on découvre à la fin que la souffrance, toute cette souffrance-là, était inutile, on a souffert comme des betes et c’était inutile, ca n’était ni juste ni injuste, ni bete, ni moche, c’était simplement inutile, et tout ce que tu peux dire à la fin c’est ca: c’était une souffrance inutile”

page 140
“peindre le rien”

page 153
“s’il y avait une solution une femme la découvrirait, ne serait-ce que par une complicité objective entre enigmes”

page 180
“ou tu regardes, ou tu joues”

page 219
“C’était un mélange de force indiscutable et de solitude définitive. Il les mettait à l’abri de toutes les défaites, et de tous les bonheurs. Ainsi ils perdaient, invaincus, toute leur vie.”

page 232
“Car c’est exactement ainsi qu’apparait la position destinale de l’homme: etre face au monde, avec soi-meme dans le dos.”

page 334
“la cruauté c’est la vertu par excellence des médiocres”

page 476
“la belle époque: on mangeait bien et les heures passaient vite”

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By designswarm

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